Outre ceux qui prennent tout au premier degré, il y a des gens à qui le sarcasme pose un sérieux problème :
Par définition, ce genre de plaisanterie dit « le contraire de ce qu’on veut vraiment dire ». Le sarcasme s’avère donc « être un obstacle pour les chercheurs et les spécialistes en marketing qui créent des programmes informatiques pour analyser les importantes réserves de bavardages en ligne pour mesurer l’opinion publique sur des produits ou des politiciens ». (…) Les ravages de l’humour en ligne (…) se constatent jusque dans les labo de recherche, où l’on s’arrache les cheveux à systématiser la compréhension des double, triple sens des tweets et posts.